Maxime Bodson

Maxime Bodson étudie l'architecture à La Cambre puis le son à l'INSAS. Son intérêt dans les formes vivantes de spectacle le font participer aux premiers projets du groupe TOC (Moi, Michèle Mercier 52ans, morte - 2005, La fontaine au sacrifice -2006, Tandis que des visions de prunes (...)-2010). En tant que créateur sonore pour la danse il débute en 2005 avec d'Orient du chorégraphe Thierry Smits pour lequel il renouvellera la collaboration sur V.-'s nightmares (2007) et ensuite To the ones I love (2010). On lui doit aussi la musique de Bref séjour parmi les vivants (2009) et Ce que le jour doit à la nuit (2012) d'Hervé Koubi. Plus récemment, on a pu le voir aux côtés de Christophe Sermet (Antilopes, 2011, Mamma Medée 2011 ) et Manah Depauw (Eden Central 2011) mais aussi (et cette fois sur scène) avec Natacha Nicora dans Ubernatürlische Pizza (Vrak festival, 2012). On pourra découvrir son univers sonore dans la prochaine pièce de Thierry Smits, Clear Tears Troubled Waters (Les Halles 2013) et dans Superoupas du collectif rien de spécial. Maxime Bodson développe son propre projet, squelette, élaboré à partir d'objets sonores spécifiques (squelettevolt, musique pour chemise brodée, squelette plays guitar, stupid competitions 2010-2011). Il joue aussi dans le groupe de musique Patton avec qui il sort 3 disques dont Hellénique chevaleresque récital (2009).