J'ai enduré vos discours et j'ai l'oreille en feu

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f e u

»

Création Théâtre

En français avec sous-titres en néerlandais

Durée : 1h20

Anne Thuot

Du 6
au 16 novembre 2013
à 20h30

Relâche dimanche,
lundi, mardi

Amphithéâtre

La Tragédie de la vengeance, pièce écrite et jouée pour la première fois en 1606, a longtemps été attribuée à Cyril Tourneur mais la critique pense dorénavant que Thomas Middleton en serait l’auteur.

Et si on dansait avec la mort ?

Et si la vengeance était un plat qui se réchauffait ?

« J’ai enduré vos discours et j’ai l’oreille en feu » est une réécriture libre sur ce texte original. Mélancolie, mort, sexe, inceste et meurtre en sont les grands thèmes tragiques, un nœud d’intrigues qui naissent et se décomposent en un fabuleux kaléidoscope.

Anne Thuot :
« Cette complexité de nos grandes passions humaines, celles d’hier et d’aujourd’hui, est un luxe : celui de notre liberté. »

Une Production de Fastasbl en coproduction avec L’ANCRE (Charleroi) et la Balsamine (Bruxelles). Avec l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles – Service du Théâtre. Avec le soutien du Centre des Arts Scéniques, de la Cocof, de BOZAR, de kc nOna, du Kunstencentrum BUDA, du Théâtre du Rond-Point (Paris), de l’Atelier 210, de Wallonie-Bruxelles Théâtre/Danse et de l’Eden - Centre Culturel Régional de Charleroi. Anne Thuot est artiste en Compagnie au Théâtre de l’Ancre.

Et si Vendice se foutait de la gueule de Hamlet ?

D'après
The revenger’s tragedy de Thomas Middleton ou Cyril Tourneur
Mise en scène
Anne Thuot
Ecriture
Caroline Lamarche et les acteurs
Dramaturgie
Olivier Hespel
Traduction
Caroline Lamarche (EN/FR) Rokus Hofstede pour les textes de C. Lamarche (FR/NL) Rudi Bekaert (FR/NL) Stéfania Ricciardi (EN/IT)
Avec
Marie Bos, Alice Hubball, Francesco Italiano, Sara Sampelayo, Hervé Piron
Assistante à la mise en scène
Lorette Moreau
Création lumière
Raphaël Noël
Création sonore
Arnaud Paquotte, Léonard Cornevin (stagiaire)
Création plastique
Mathieu Boxho assisté de Hugo Messina
Construction décors
Didier Rodot
Couture
Heidi Ehrhart
Un personnage dit :
« Et à la fin, tout le monde meurt, c’est comme dans la vie. »